Les commentaires prennent un tour qui ne me plaît guère…
Il ne sert pas à grand chose de donner la vedette à un employé municipal dont nous sommes tout à la fois les clients, puisqu’il est au service de la commune, et les employeurs puisque nous élisons les conseillers municipaux. Il est pris entre son devoir de réserve (?) et la pression amicale (!) de son entourage et ne peut donc débattre librement sans arrière-pensées.
Je propose donc qu’à partir de maintenant nous changions de sujet et que nous l’oubliions complètement, que nous réservions nos observations et nos critiques aux élus et à leur œuvres.
Merci d’avance de votre compréhension.
Dommage mais je suis obligé de mettre les commentaires sous surveillance. Ils seront vérifiés avant d’être affichés. Pour quelques temps seulement, jusqu’à ce que nous soyons plus sages. Tout ce qui se rapportera à M. ….. sera supprimé. Bien entendu ses commentaires, s’ils me paraissent provocateurs, le seront aussi.
6 réponses à “Nous ne sommes pas fair-play !!!”
Claude, c’est bien de nous rappeler cette époque, 1971.
Nous étions jeunes à l’époque, tout étit à faire à Venelles.
Nous avons tout créé, tout mis en place. Te rappelles-tu l’enthousiasme que nous avions ? Les animations que nous faisions sur le village ? Nos idées de développement, notre courage, notre volonté ?
Nous sommes ceux et celles qui avons fait ce village, jusqu’à son début de destruction en 2001.
Oublions le reste, rappelons-nous de tout ça.
GAM pour Groupe d’Action Municipale. Créé en 1971 à Venelles me semble-t-il (c’était une année d’élection municipale). Ce fut Le point de départ d’une démarche citoyenne à une époque où la commune était bien plus petite qu’aujourd’hui, pour “secouer” une municipalité “pépère” constituée depuis de longues dates de vieux Venellois, dont la plupart des élus étaient issus du monde agricole . A Venelles ce GAM est à l’origine de l’implication dans la gestion de la cité d’assez nombreux élus municipaux. Nombre d’entre eux se sont retirés du dispositif même s’il en est encore en vie. Il en reste encore en activité dans le conseil municipal, (devinez qui ?). Ce GAM a joué un grand rôle dans l’évolution de la cité Venelloise au cours des mandats municipaux qui se sont succédés depuis.
Je ne sais pas ce qu’étaient les GAM, qui peut m’éclairer ?
CHICHE!
Et pourquoi pas? une coalition de bon sens!!!! C’était l’esprit des GAM, qui a d’ailleurs fait une liste où nous laissions notre étiquette à la porte. Seul l’INTERET DE LA COMMUNE ETAIT PRESENT………….
Le titre était sur la plaquette (dispo à la bibli) GAM 71 ?
Pierre Morbelli
DD, vous avez raison, vous notez que je n’attaque pas les employés territoriaux, j’en suis un et c’est difficile de voir comment quotidiennement, les lois sont tournées, non appliquées, dérivées… Il faut dire que dans ce domaine, la Droite est industrielle, quand la Gauche est détaillante…
Avant votre intervention, une réflexion me venait et je souhaitais la faire partager : la prochaine élection municipale et son contenu.
Nous allons assister au déferlement de listes, les uns sachant mieux que les autres ce qu’il convient de faire dans notre commune.
L’épisode SAEZ étant un avatar de l’histoire venelloise, l’Histoire ne retiendra pas grand chose de cette époque, finissante.
L’équipe actuelle n’est arrivée aux affaires, que par des coups tordus, calomnies infondées qui durent encore aujourd’hui. Les B & B s’y sont associés -de facto- le reste n’est que littérature.
Une proposition : que Pierre MORBELLI prenne la tête d’une coalition où figureraient les dissidents de la Droite, les B & B avec Serge BRIANCON sans son ego démesuré, mais avec sa mesure d’avant.
En effet cette équipe possèderait de bons atouts, dont l’honnêté intellectuelle, qui manque tellement aux actuels représentants des Venellois.
Ces gens seront sans doute assez sages pour éteindre les feux des ruines fumantes et reconstruire patiemment l’avenir du village.
D’accord M. Daix, nous sommes allés trop loin. Mais sûrement en réponse à son discours… Pour ma part, je m’en tiendrai là. Espérons qu’il en fasse autant.