À Aix en Provence, notre grande voisine, ils y pensent aussi, le premier désespère (un peu), le second cherche des raisons d’y croire…

Quelques leçons locales du scrutin national (Cyril Di Méo)

L’élection se gagne sur une cohésion forte et préalable d’un camp. L’unité semble être une condition claire de la victoire, Sarko a gagné par sa capacité à unifier la droite. Nous ne gagnerons Aix que grace à une unification de la gauche (et du centre). Mais à Aix nous avons déjà 3 candidats chez les socialistes. Autant dire que l’élection est presque perdue…car vu le calendrier il ne restera que quelques mois à la rentrée de septembre pour la campagne. Ce n’est pas faute d’avoir appelé depuis plusieurs mois à des primaires…

Et pour les municipales à Aix ? (Lucien-Alex@ndre Castronovo)

Je crois d’autant plus fort à ce scénario que le bilan de Joissains est considéré par les Aixois comme étant catastrophique et que les défis objectifs à relever pour notre ville nécessitent un projet de ville s’appuyant sur une politique transversale de salut public.