À Puteaux, Christophe Grébert donne l’exemple, une campagne pour les municipales de 2008 commencée très tôt, dans la transparence. Tout à la fois, il ouvre deux blogs, un pour sa campagne et un autre destiné à recueillir l’expression des Putéoliens et à mettre en place leur projet. À Venelles l’opposition ne semble pas avoir commencé la préparation des municipales de 2008… du moins rien n’apparaît pour les citoyens qui se demandent encore quels choix ils auront l’an prochain..
À Aix les manoeuvres de Michel Pezet et Alexandre Medvedowsky sont plus médiatisées mais l’essentiel se passe sous le manteau et est inaccessible à l’aixois de base.
Il y a pourtant des villes où une opposition déterminée oeuvre dans la transparence et tient le public informé. Pourquoi ne pas s’en inspirer à Venelles, pourquoi ne pas arrêter les rencontres plus ou moins secrètes, lieux de discussions stériles, où reproches, rancunes et ambitions personnelles prennent le pas sur les intérêts de la ville et de ses habitants ?
Que les élus actuels et les candidats futurs annoncent clairement positionnement et objectifs, démontrent leur envie de l’union sans y mettre d’obstacles inutiles et consultent les venellois qui, en dernier ressort, décideront du résultat des élections.
3 réponses à “Municipales 2008 – U R G E N C E”
A oui ! Jean-Pierre BORNE : un sous marin de Mme JOISSAINS, qui se fait passer pour “apolitique” donc de Droite…
Qui est le candidat local aux législatives ? Jean-Pierre Borne ?
Parti comme c’est, il est à craindre que dans 6 ans nous ayions les mêmes discussions.
D’un côté, le maire en place, concocte sa liste, à l’instar du Président de la République, en ouvrant à gauche : nous allons retrouver à ses côtés le candidat local malchanceux aux législatives, la “bande à Vergnaud, Chaix…”, mais sans oublier certains de ses coéquipiers actuels Chardon et Quaranta, qui se sont laissés convaincre qu’ils auront les premières places au bout de 2 ans maximum suite à la démission du maire (ce genre de promesses d’autres s’y sont cassée les dents). Vraisemblablement de ce côté-ci de la Touloubre, 1, 2 ou voire 3 autres listes peuvent émerger (soutenues semi-officiellemnt pour certaines).
Sur l’autre rive de la Touloubre, l’état des lieux est fait, une partie des solutions à apporter esquissée, mais ce qui est évident aveugle tellement certains qu’ils espérent l’union avec des chefs de file qui ne font pas l’unanimité.
Et pourtant il y a urgence le bilan de l’équipe en place est tellement maigre : 1 parking de 10 places, 3 palmiers et une place laide à mourrir qui est à la place de village ce qu’est la table en formica au meuble signé Riesener. Et puis le retour de sous traitants comme la Sogeres et de la Saur, montrent que ce mandat n’aura été qu’une parenthèse.
Quant aux promesses non tenues on ne les compte plus, certes les candidats ont l’habitude de faire des promesses dont la réalisation ne dépend pas entièrement d’eux ce qui leur permet, par la suite, de rejeter sur d’autres leur dédit, il ne s’agit là que supposée subtile pratique politicienne. Est toute autre la promesse que le candidat, une fois élu, s’évertue à fouler au pied: la tromperie là est manifeste et voulue.
Se veut Macchiavel, n’est que Pinocchio.