Un article de La Provence du 2 janvier liste Dix idées pour changer Aix. Faisons de même pour Venelles. J’attends vos suggestions. Envisageons toutes les possibilités, la circulation, le stationnement, l’affichage, les services publics, les écoles, les crèches, la politique, la solidarité… Faites un vœu (ou plusieurs) pour améliorer notre ville.
Si les réponses sont assez nombreuses, d’ici quelques jours nous en ferons une liste.
34 réponses à “Dix idées pour changer Venelles”
Pour les idées celles de Claudine m’ont bien plu.
et une salle de cinéma, un collège, pourquoi doit-on envoyer les enfants a St Donat ?
un dojo un vrai! peut-être une piscine.
Déplacer le marché du samedi (alterné) vers le rond point de la gare.
il y a un gros déséquilibre entre Venelles centre et la limite Logisson.
Une salle de cinéma, ce doit être faisable. Je me rappelle qu’en 2001, c’était l’un des projets de Morbelli. Il devait se situer près des ateliers du festival.
Un collège, par ocntre, c’est aberrant financièrement parlant. Ce sujet revient constamment et tout le monde sait qu’il n’y a pas le potentiel necessaire pour le créer.
La piscine, on va avoir celle de la CPA et gratos.
Déplacer le marché ? Ne vaudrait-il pas mieux en avoir 2 dans la semaine : le mercredi aux Logissons (à quel emplacement ?) et le samedi sur la place rouge. Comme de nombreuses mamans, je fais mes courses le mercredi après-midi et j’apprécierai un marché ce jour-là.
Pour revenir au sujet d’origine de ce billet (excellent sujet d’ailleurs), j’aimerais quant à moi que l’on traite au mieux la question :
– du logement : on aura beau tourner et retouner la question dans tous les sens, nous devrons proposer aux populations futures du logement vertical. C’est à dire des petits immeubles, près du centre ville. Pas des cités comme en parlait Saez en 2001 histoire de faire repoussoir. Je dois reconnaitre que les bâtiments créés autour de l’Esplanade Cézanne sont une vraie réussite d’intégration environnementale. Il faudrait continuer dans cette lignée. Et du logement accessible, bien sûr ! A de jeunes couples qui ne disposent que de 1500 € par mois, pas plus.
– améliorer la zone commerciale, la rendre moins Plan de Campagne et plus humaine, plus jolie, mieux organisée. Permettre à des entreprises de s’y installer et d’y créer des emplois.
– créer un hôtel / salle de congrès car Venelles occupe une place stratégique sur la route d’Iter
– améliorer toutes les structures sportives du Parc des Sports afin que nos équipes (de haut niveau) puissent continuer à travailler dans de bonnes conditions et évoluer.
– créer au Parc des Sports un cyber-café : ce serait le RDV des jeunes et leur donnerait l’occasion, puisqu’ils seraient sur place, de faire du sport en même temps.
– Mieux connaître les acteurs locaux du monde agricole, leur donner la possibilité de s’exprimer, de faire connaître leurs produits, de les associer au milieu scolaire, etc.
Je vais m’arrêter là, sinon je remplirais des pages et des pages.
Pourquoi personne ne propose d’idées ? Il y a de quoi dire pourtant…
Votre intervention m’enthousiame Claudine. je partage votre énumération d’idées dans toute sa ligne, même si j’y vois des variantes. Ce sont des gens comme vous dont nous avons besoin pour former une équipe municipale.
Ma réponse à Gandalf est sans grand intérêt, je voulais essayer la nouvelle fonction permettant de répondre directement à un commentaire. Merci de votre indulgence.
Pour ma part, je trouve très bien d’avoir une hiéarchie des commentaires, avec les réponses adaptées à un commentaire précis.
Donc, je place ici le mien pour voir ce que cela donne comme effet, visuellement.
(et bravo, M. Daix, de vous investir comme vous le faites pour toujours chercher à améliorer votre blog !)
Par contre, on ne retrouve pas ces “réponses aux commentaires” dans la liste des commentaires récents ? Je me trompe ?
Je le craignais mais je suis allé vérifier, ils s’y retrouvent bien.
Gandalf
Venelles pour Vous, commentaire de D. Tournié
Mon point de vue sur le commentaire de “Gandalf le Blanc”, faisant allusion à des “manœuvres immobilières” signalées sur un autre blog.
Dans le blog cité il est effectivement énuméré par Lucien un nombre impressionnant de “sociétés” dans lesquelles seraient impliqués quelques élus de la majorité actuelle, ou des familles d’élus, ou des individus bien placés dans l’organigramme municipal, parce que très proches de la majorité, ou encore de la famille de ces individus (en quelque sorte tous forment une bande de copains et de coquins).
Il est vrai que cette énumération est troublante, si elle est vérifiée. On peut toujours penser que les affaires ne sont pas interdites pour les élus, mais quand même un sens aussi développé des affaires dans l’immobilier chez des élus, ne paraît pas très compatible avec une certaine éthique de la fonction. Sans doute un CV véritable et sincère, comme le suggère DD, s’impose pour tous ceux qui briguent un mandat d’édile ou d’adjoint. Chiche ! Electeurs, exigez le CV !!
J’aurais aimé que celui (Lucien) qui fait si judicieusement cette énumération des affaires de nos élus du moment soit aussi investigateur dans les affaires des prédécesseurs de ces élus. Peut-être aurait-il trouvé des sujets de commentaires aussi intéressants ?
Monsieur Bouillet,
Vous voulez dire que vous aussi vous aviez à l’époque des affaires immobilières ?
C’est une manière d’interpréter mes propos: La votre “Mince alors”. Rassurez-vous je n’ai jamais trempé dans aucune affaire immobilière. Ce n’est pas ma culture. Relisez mon commentaire. Je suis partisan de la présentation d’un CV pour tout candidat aux municipales et je suis donc tout à fait disposé à me prêter à cet exercice. Sans crainte!
Je répète mon commentaire: Les affaires ne sont pas interdites pour un élu, mais un sens développé des affaires immobilières ne me semble pas compatible avec la fonction d’élu.
Quelques affaires immobilières ont rempli les colonnes de La Provence ces jours récents, impliquants des élus de la majorité aixoise et un footballeur célèbre. C’est la démonstration d’un mélange des genres malencontreux.
Je pense que “Mince alors” rebondissait sur votre phrase : “J’aurais aimé que celui (Lucien) qui fait si judicieusement cette énumération des affaires de nos élus du moment soit aussi investigateur dans les affaires des prédécesseurs de ces élus. Peut-être aurait-il trouvé des sujets de commentaires aussi intéressants ?”
Pourriez-vous préciser votre pensée M. Bouillet ?
Ma pensée ? Peut-être qu’en “fouillant” dans les activités parallèles de certains élus “aux commandes” dans les mandats précédents Lucien aurait aussi découvert leur implication dans quelque(s) affaire(s) immobilière(s). Je répète une nouvelle fois qu’il n’est pas interdit à un élu de faire des affaires dans l’immobilier, même si ce n’est pas trés “moral” parce que susceptible de générer quelques soupçons.
Bonsoir M. Bouillet !
Puisque vous nous glissez dans le creux de l’oreille qu’il faut “fouiller” du côté des anciens élus (mais, la main sur le coeur, en sachant bien qu’ils avaient le droit de le faire, hein ? n’est-ce pas ?), ben j’ai rien trouvé. Il y en a bien un qui avait une société de communication, un autre une entreprise de chauffage. Pas vu trâce de société immobilière. Ils n’ont pas acheté de studio en Espagne ou de villa au bout du monde. Ils sont restés simples. Faut-il remonter à l’époque de Daugé ?
A moins que vous-même ne vous rappeliez plus trop et que vous confondiez ?
Merci d’éclairer notre lanterne.
Monsieur Bouillet,
Donc, vous ne vous rappelez pas trop ? Je n’ai toujours aucun éclaircissement de votre part concernant les “fouilles” que vous nous conseillez de faire ?
Dois-je supposer que vous agissez comme notre bon maire, qui envoie à qui veut l’entendre des soi-disants confidences perfides sur untel et untel, mais que personne ne vérifie ?
J’insiste vraiment pour avoir des explications sur ce que vous avez avancé plus haut ! Je ne voudrais pas avoir à vous traiter d’affabulateur.
Qu’attendez-vous de moi Frédéric? Des détails “croustillants” ? Ce n’est pas dans mon tempérament. Je préfère laisser cela à d’autres. Apparement certains savent faire.
Je n’ai pas plus l’intention comme vous en accusez “notre bon maire” de diffuser des soi-disants confidences perfides sur untel ou untel. Ce n’est pas non plus dans mon tempérament.
Si il y a des irrégularités ou illégalités avérées parmi des personnages chargés des affaires publiques, alors je n’hésite pas à les faire connaître.
Il est vrai cependant que tout postulant à un mandat d’élu devrait se soumettre à un CV sans omission, y compris toute implication (directe ou par famille interposée)dans des SCI ou autres affaires immobilières. Un CV aussi où on ne s’invente pas des diplomes, titres ou autres fonctions imaginaires. Mais la sincérité est rare dans ce monde là.
DD, les 2 critères cités ne sont pas les seuls, et si l’on a toutes les raisons objectives de penser que l’on peut faire confiance à tel ou tel candidat, on peut se déterminer, j’entendais par niveau de l’affectif et du ressenti, des critères exclusivement subjectifs du type de ceux que j’ai entendu récemment à propos de 2 éventuelles candidatures de dames : “Ah! on m’a dit qu’il y avait 2 femmes qui se présentaient, une grosse et une c…”.
Si l’on commence à rapporter dans le détail les saletés que certains déversent sur tel ou tel candidat, on va en remplir des pages et des pages, et ce blog deviendra une poubelle. Nous serions nombreux alors à relater comment *(certains parlent des candidats, utilisant des termes peu sympathiques)* et sans se cacher.
Evitons ! Ne nous mettons pas au même niveau que ceux qui les disent.
J’ai un peu modifié le commentaire de Babeth. Elle a raison, je ne voudrais pas que ce blog devienne une poubelle.
Sur un blog j’ai lu qu’il y aurait des “manoeuvres” immobilières autour du stade ; un autre commentaire parlait d’intérêts immobiliers pour des élus ou leurs proches…
Avant les élections ou après, les candidats, ou les élus, doivent-ils faire le point de leurs situations personnelles et professionnelles ? Sont-elles vérifiées afin qu’elles ne soient pas en conflit d’intérêt avec les affaires qu’ils seront amenés à traiter ?
Effectivement avant de choisir un candidat, il serait intéressant de le connaître “bien”, savoir ce qu’il fait professionnellement parlant, s’il aura du temps à consacrer aux affaires de la villle, etc.
En effet, j’espère que nous aurons rapidement en ligne les CV de tous ceux qui se présenteront, que ce soit en tête de liste ou non.
Critère important pour moi : la disponibilité que ces personnes accorderont à leur travail en mairie. Les signeurs de parapheurs du soir ne me semblent guère crédible en terme de qualité de travail et d’implication.
Dans l’intérêt de la Commune, l’électeur est appelé à faire un choix sur des critères objectifs qui ne devraient laisser aucune prise à l’affectif et au ressenti…
Et pourtant l’affectif, le ressenti pèseront lourd, les citoyens ne voteront pas forcément pour les plus compétents/capables mais pour les candidats qui inspireront le plus confiance, les moins susceptibles de les trahir sans oublier, qu’en fonction des résultats du premier tour, certains seront amenés à choisir par défaut, à voter contre et non pour.
Dans une poignée de semaines nous désignerons ceux qui, durant les six prochaines années, administreront les affaires de la Commune, en notre nom. Ce scrutin est singulier à plus d’un titre, alors qu’aux présidentielles, législatives, cantonales nous sommes appelés à désigner un candidat (les sénatoriales tenant plus de la cooptation que de l’élection, et, les européennes sur liste régionales prenant de plus l’allure de sessions de rattrapage pour candidats recalés aux scrutins nationaux), là nous choisissons une liste pour gérer notre quotidien commun.
Certes les listes qui nous sont proposées auront en tête d’affiche le nom du « tête de liste », qui, habituellement, a vocation à être élu maire mors du premier Conseil Municipal suivant l’élection, mais rien n’empêche qu’il en soit autrement par désir de non-cumul de mandats ou combinazione de dernière minute…
On peut s’étonner, dès lors, que les partis politiques donnent une investiture lors de ce type de scrutin puisque leur caution va au tête de liste avant même qu’une liste soit constituée, or, les différents candidats d’une liste ne sont pas les clones du premier, appelés qu’ils sont à représenter la totalité de la communauté. Il n’est donc pas étonnant que plus de 70% des maires soient issus de liste sans étiquette, l’étiquette s’avérant nécessaire pour ceux qui présentent un déficit de popularité ou de reconnaissance auprès des électeurs.
L’étiquette apparaissant dès lors comme un simple « cache misère », qui ne donne à l’électeur aucune garantie sur les capacités des candidats, il convient donc d’exercer son choix sur d’autres critères.
A la suite de Pufendorf qui, dès le XVIIème siècle, estimait que la légitimité du pouvoir tenait du contrat passé entre gouvernants et gouvernés et non d’une onction divine, il est raisonnable, dans une démocratie, de faire reposer la légitimité de l’élu sur le contrat conclu avec l’électorat plutôt que sur une onction populaire, simple avatar de l’onction divine d’autrefois. Ainsi le choix de l’électeur ira non à ceux qui lui raconteront la plus belle histoire mais à ceux qui sauront écouter ce qu’il a à leur dire. Il n’est, évidemment, pas interdit de se prononcer en fonction des projets présentés par les différentes listes mais en s’attachant bien plus encore à la capacité d’accomplissement de ce qui est proposé, en ayant à l’esprit qu’en 6 ans les choses évoluent ce qui rend nécessaire la consultation et l’écoute des administrés tout au long du mandat : pas de chèque en blanc pour 6 ans.
Le premier critère de choix porterait ainsi sur la capacité des candidats à établir un contrat avec la communauté et plus encore sur leur volonté à respecter ce contrat pendant 6 ans. Ceci éliminerait, ipso facto, les candidats qui, par le passé, auraient non pas dérogé à un contrat qu’ils auraient co-contracté (à tout pécheur miséricorde), mais auraient érigé en bienfait le manquement à leurs engagements.
Par ailleurs, le scrutin désignant une liste avec tête de liste, le deuxième critère de choix pourrait porter sur l’autorité du chef, l’autorité n’étant pas l’aptitude à imposer sa volonté, ce qui définit l’autocratie, mais la capacité de maintenir la cohésion de son groupe d’élus et de le guider vers l’objectif communautaire. En effet, les électeurs s’étant prononcé sur une liste pour les représenter, le maintien de la cohésion du groupe est primordial pour préserver la représentativité des élus, garante de la démocratie. Si d’aventure, le groupe venait à éclater, au point d’obérer gravement la représentativité des élus en charge, la morale politique exigerait un retour devant les électeurs pour asseoir à nouveau la légitimité à la fois des élus et des décisions qu’ils sont appelés à prendre, rappelons-le, toujours au nom de la communauté.
Ce deuxième critère amènerait l’électeur à repousser ceux qui, le cas échéant, auraient refusé le retour aux urnes, au prétexte qu’ils seraient battus, reconnaissant par là même qu’ils n’avaient plus de légitimité représentative. Un replâtrage de façade visant à modeler une pseudo majorité est, non seulement condamnable du point de vue de la morale politique, mais encore plus, délétère pour l’avenir de la communauté.
Dans l’intérêt de la Commune, l’électeur est appelé à faire un choix sur des critères objectifs qui ne devraient laisser aucune prise à l’affectif et au ressenti : on ne repousse pas un candidat parce qu’on ne l’aime pas, mais parce qu’on estime qu’il n’apportera rien de bon à la communauté, il serait souhaitable, aussi, que le candidat repoussé fasse preuve de maturité politique en considérant que ce n’est pas sa personne qui est en cause mais sa capacité à exercer une fonction.
L’utilisation d’internet dans cette petite ville, 14000 habitants, est particulièrement intéressante et très différente de ce qui se passe chez nous. Une visite rapide laisse à penser qu’on pourrait y trouver des exemples. Dès que l’opportunité se présentera j’essaierai d’en faire le tour. N’hésitez pas à me faire part de vos observations. Merci Caroline.
Monsieur Revy,je suis d’accord avec vous, mais pour cela il faut donner accès à l’INTERNET pour tous.
Allez voir le site internet de la ville de BLANQUEFORT (33)qui vient d’obtenir le Label villesinternet 5@.
“http://www.ville-blanquefort.fr/“
“faire des enquêtes régulières auprès de la population sur la perception de l’action municipale” ==> idée très interessante.
A condition qu’elle soit menée par un groupe extra-municipal composé de personnes non choisies par le maire.
Ce groupe devra tenir à jour un blog/site, toujours totalement indépendant. La Municipalité se devra de répondre aux questions posées par ce groupe.
Des billets mensuels seront émis et distribués dans tous les foyers (car tout le monde ne dispose pas d’Internet).
Question intéréssante. Voila quelques idées en vrac.
Être à l’écoute de la population : organiser par quartier des réunions annuelles de bilan de l’action municipale – faire des enquêtes régulières auprès de la population sur la perception de l’action municipale – permettre à la population de saisir directement le conseil municipal – organiser chaque année un accueil des nouveaux habitants –
Modifier les pratiques : renforcer le partenariat avec le milieu associatif – définir une charte de la concertation avec un observatoire des pratiques – Repenser l’utilisation d’INTERNET municipal – développer l’information sur le développement durable – créer un observatoire des engagements – développer les transports alternatifs – Systématiser la concertation pour tous les projets de grande ampleur (site INTERNET + débat public) – adopter une charte éthique par les élus – Appel à projets (associations, entreprises)
Améliorer la qualité de la vie : économiser l’occupation de l’espace – inciter les entreprises à mettre en place des programmes respectant l’environnement – préserver et valoriser les espaces naturels – mettre en oeuvre effectivement la charte de l’environnement du pays d’Aix.
Améliorer la gestion des services publics : mettre en place au niveau de la commune une politique d’achat éco responsable – mettre en place au niveau des bâtiments municipaux un programme d’économie d’énergie – Renforcer la qualité du service public local (enquêtes de satisfaction chaque année, indicateurs de performance, amélioration en continue)
J’ai supprimé quelques passages du commentaire d’Henri… par prudence.
Une idée pour les jeunes.
Les jeunes s’ennuient le dimanche à Venelles. Aucun endroit pour se réunir.
Et pourtant, il y a une salle des fêtes, vide, totalement équipée, qui pourrait leur être laissée à disposition pour se retrouver entre eux et pourquoi pas danser ?
De 16h à 18h, elle pourrait être réservée aux petits de 10 à 14 ans, puis de 18h à 21h aux plus âgés. Le matos de la mairie serait prêté pour passer des CD. Les jeunes pourraient entrer soit en donnant 1 ou 2 euros ou une bouteille de soda.
Un groupe de jeunes “encadrants” bénévoles serait chargé d’accueillir, de gérer la salle (lumières, sono, buvette, nettoyage, interdiction de fumer à l’intérieur, etc.) et la police municipale enverrait un policier surveiller de temps en temps le bon déroulement des choses.
Toute la structure y est, cela ne couterait rien ou pas grand chose à la commune. Et je pense que cela deviendrait le rendez-vous habdomadaire des jeunes. Qu’en pensez-vous ?
Entièrement d’accord avec vous Fanchon !
Il est vrai que Venelles, le dimanche, ressemble à une ville fantome. J’ai une petite de 12 ans, je lui en ai parlé et elle serait ravie d’y aller avec ses copines.
Elle a rajouté que des mamans pourraient se relayer pour y être présentes de façon discrète (et à condition qu’elles amènent des gâteaux !)
J’ai vu plus haut aussi la proposition de créer un web cafe au parc. Bonne idée ! Mais faudrait que ce soit aussi et surtout ouvert le dimanche. Et que cela fasse aussi snack tant qu’à faire.
Tout cela ferait une animation géniale pour les jeunes.
Lu sur l’excellent site d’Alexandre Castronovo : “Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette”. Proverbe chinois
Saez traine donc derrière lui une belle ardoise…
Idée de base pour changer Venelles : changer l’équipe municipale actuelle (ça c’était facile à trouver), mais surtout changer la mentalité politique.
Il nous faut de la moralité et de la transparence, de la disponibilité, de l’implication. Ras le bol de voir … (supprimé par le modérateur)… sur le manque de logements sur la commune. Ce n’est pas une diffamation mais un constat (vérifiable sans aucun problème sur le net) : … (supprimé par le modérateur)… Et pendant ce temps, nos jeunes s’expatrient à Meyrargues, Jouques, etc. Venelles devient un désert peuplé de vieux.
Alors, oui, la bonne idée c’est la TRANSPARENCE.