La veille des élections… pourquoi ne pas sourire avec quelques extraits du bêtisier des mairies ? Ces perles ne concernent pas Venelles… quoique certaines d’entre elles…
Pour faire ses courses, un véhicule tout à la fois économique et écologique.
BÊTISIER DES MAIRIES
- Les ralentisseurs que vous avez mis devant l’école sont trop hauts et ma femme se fait sauter quatre fois par jour.
- Je ne veux pas vous embêter avec mes histoires de poubelle mais avouez quand même que c’est pas normal que la mairie ne ramasse pas des ordures comme mon voisin.
- Ça sert à rien de faire des activités pour les vieux puisqu’ils sont inactifs.
- Mes impôts pour la commune j’aimerai bien les voir dans les trous de la route et pas dans votre poche.
- Le cimetière est dans un état pas possible et tous ceux qui y habitent pensent comme moi.
- Est ce qu’on ne pourrait pas déplacer le bal du 14 juillet au 15 août ?
- J’ai dit à votre secrétaire de mairie : de deux choses l’une ! ou c’est comme ça… ou c’est pas autrement.
- De quoi vous discutez aux réunions du conseil municipal ? De mes intérêts ou de conneries comme de refaire la route qui est encore très bien ?
- J’ai bien reçu votre bulletin de la mairie et je vous pose la question : c’est avec notre argent que vous écrivez des âneries comme ça ?
- Oui monsieur le maire vous êtes responsable des cacas de chien dans les rues même si ce n’est pas vous qui les faites personnellement.
- J’ai toujours voté comme il fallait c’est-à-dire pour celui qui a été élu.
- Le toit de l’église fuit depuis deux ans et la vierge est toujours mouillée. Faites quelque chose pour elle s’il vous plaît monsieur le maire.
- C’était une cabine téléphonique où il fallait mettre des cartes et toutes les pièces que j’ai voulu mettre ne rentraient pas.
- Vos promesses de marchand de soupe qui mange à tous les râteliers, j’en ai entendu depuis des centaines d’années.
- On ne vous demande pas de faire grand chose sauf d’en faire beaucoup.
- Être élu c’est facile pour vous parce que vous êtes pas mal foutu et que vous embrassez toutes les femmes sur le marché.
- Vous êtes le maire, c’est-à-dire le président de la république de la commune ; moi, à votre place, je m’occuperai un peu plus gentiment de toutes les femmes de la commune qui n’ont pas d’hommes à se mettre sous la main.
- La responsabilité de tous les accidents que j’ai eus n’est pas pour moi mais pour les routes où je circule et qui ne sont pas en état de conduire.