À Aix en Provence, certains des vaincus aux dernières élections essaient de comprendre les raisons de la défaite, de savoir pourquoi Maryse Joissains-Masini a gagné. Rien de tel chez nous, les perdants sont muets.
– Le pourquoi et le comment… (1 – 2 – 3 – 4) (L-A. Castronovo)
– Amertume (Cyril Di Méo)
– Il ne fallait pas s’attendre à mieux… (Cyril Di Méo)
5 réponses à “Analyse d’une défaite (Aix)”
Le volet numéro 4 de la saga de monsieur Castronovo est intéressant, il éclaire et explique la défaite de Medve.
« car ce dernier n’entendait pas accorder une représentation équitable à la liste Pezet, Medvedowsky considérant qu’il était le seul à pouvoir en fixer les conditions et en imposer les limites. »
Dans le même genre nous attendons, ici, à Venelles, que quelqu’un nous informe sur les détails de la fusion des listes Briançon et Coursol, sur les rapports de force, etc.
Je viens de remarquer que vous avez créé un nouveau blog (http://13770.free.fr/)où vous avez recensé toutes les promesses du maire ainsi que tous ses tracts.
Très bonne initiative !
Cela permettra de faire une “vigilance citoyenne” comme le dit M. Desprez.
C’est bien l’objectif
Je pense que l’analyse d’Aix en Provence est l’analyse sur l’équipe en place qui s’est séparée pour des problèmes de personnes. Si les centristes avaient voulu un changement, ils ne se seraient pas maintenus. Quant à ceux qui sont à l’origine de la quasi totalité des réalisations et des inaugurations dont a profité cette équipe, je ne vois pas trop d’analyse de leur défaite. Pour faire court, il s’agit des équipes Pezet- Picheral et Medvedowsky.
A Venelles les perdants sont muets dites-vous ! Il est vrai qu’ils étaient plus diserts avant les élections, mais n’est-ce pas “normal” ? Nous étions alors dans la phase de convaincre.
Le “silence” des vaincus n’est pas la démonstration qu’ils n’ont pas les uns et les autres leur idée sur les raisons de l’échec et peut-être aussi une certaine amertume en pensant que l’échec aurait pu être évité ou être moins cuisant.
A quoi bon remuer le couteau dans la plaie, les raisons des uns ne seront pas admises par les autres, et en désespoir de causes les jeux sont faits. On ne rejoue pas le match et il serait stérile de se jeter des accusations les uns sur les autres!
Mais peut-être que certains avec un peu de recul ont leur idée sur les raisons de l’échec et préparent le prochain match en évitant les mêmes erreurs, avec une sélection plus strictes des joueurs ? Par exemple des joueurs qui jouent moins “perso”. Cela me paraît plus efficace.