Cliquez sur la citation et suivez le lien, vous verrez qu’elle n’est pas de l’Abbé Sieyès mais d’un journaliste français, Émile de Girardin, né à Paris le 22 juin 1806 et décédé à Paris le 27 avril 1881.
Lisez, lisez... vous en retirez toujours quelque chose. / 25 Sep 2008 2:13 #
Cette citation est extraite de “La politique universelle: décrets de l’avenir”, ouvrage écrit par Emile de Girardin, publié en 1855. On trouve cette citation au livre premier dans le chapitre intitulé “L’assurance universelle”. L’intégralité de la phrase, d’où est tirée cette citation, est la suivante:
“Gouverner, c’est prévoir; ne rien prévoir, ce n’est pas gouverner, c’est courir à sa perte.”
Si le coeur vous en dit n’hésitez pas à lire cet ouvrage, vous constaterez que ce qu’écrit Girardin, à la moitié du XIXème siècle, n’a pas pris une ride.
Pour répondre à GANDALF, cette citation est régulièrement citée par JP SAEZ (le dernier conseil par exemple) qui l’attribue systématiquement à l’Abbé SIEYES.
4 réponses à “Rendons à César…”
Pourquoi cette citation, là, toute seule comme un cheveu sur la soupe ?
D’ailleurs n’est-elle pas de l’Abbé Sieyes ?
Cliquez sur la citation et suivez le lien, vous verrez qu’elle n’est pas de l’Abbé Sieyès mais d’un journaliste français, Émile de Girardin, né à Paris le 22 juin 1806 et décédé à Paris le 27 avril 1881.
Cette citation est extraite de “La politique universelle: décrets de l’avenir”, ouvrage écrit par Emile de Girardin, publié en 1855. On trouve cette citation au livre premier dans le chapitre intitulé “L’assurance universelle”. L’intégralité de la phrase, d’où est tirée cette citation, est la suivante:
“Gouverner, c’est prévoir; ne rien prévoir, ce n’est pas gouverner, c’est courir à sa perte.”
Si le coeur vous en dit n’hésitez pas à lire cet ouvrage, vous constaterez que ce qu’écrit Girardin, à la moitié du XIXème siècle, n’a pas pris une ride.
Pour répondre à GANDALF, cette citation est régulièrement citée par JP SAEZ (le dernier conseil par exemple) qui l’attribue systématiquement à l’Abbé SIEYES.
Merci a DD d’avoir rendu à César ….
desprez