[tab:Pourquoi pas ?]
Construire au-delà de l’autoroute ? Pourquoi pas ? À Venelles la quasi-totalité des politiques refuse la traversée. Eux vivants, jamais la ville ne s’étendra dans cette zone. Le résultat est immédiat, ne peuvent s’établir à Venelles que les classes aisées, les jeunes et les classes moyennes sont priées d’aller voir ailleurs !!!
[tab:Une réflexion intelligente de Didier Desprez]
Un quartier durable sur le terrain des Michelons…
– Réalité ou effet d’annonce ?
Sans aucune concertation et sans doute par effet de mode, la municipalité et plus précisément son Maire ont fait le choix de réaliser un quartier durable sur le terrain des Michelons, situé, excusez-moi du peu, entre une ex-nationale et une autoroute (et sa sortie), flanqué, qui plus est, d’une station-service dont on n’envisage même pas le déplacement, sans parler qu’une grande partie de ce terrain est en zone inondable.
Dans de telles conditions, affirmer que l’on va réaliser à cet endroit un éco-quartier relève plus de l’effet d’annonce que d’une réalité : Je rappellerai simplement que la démarche d’éco-quartier suppose une analyse préalable des besoins en terme de qualité de vie, de mobilité et d’accès aux services mais également en termes d’économie des ressources et des charges, de maîtrise des flux et de gestion des milieux. Un quartier durable s’inscrit dans l’amélioration des espaces naturels et du patrimoine végétal, augmente la biodiversité et améliore la vie sociale dans un cadre agréable. Le terrain des Michelons qui se trouve en entrée de ville avec les nuisances évoquées ci-dessus et une circulation dense qui ne cesse d’augmenter d’année en année ne répond pas à ce cahier des charges.
– Un quartier sans doute, un quartier durable certainement pas !!!
Et ce n’est pas parce qu’on envisage d’y faire un réseau de chauffage avec une chaudière au bois que cela changera quoi que ce soit !!!
J’irai même plus loin en considérant qu’il serait préférable d’imaginer sur ce terrain un grand espace public accueillant la salle de spectacle et pourquoi pas un hôtel : vouloir rentabiliser le terrain (qui appartient déjà à la commune) ne doit pas nous conduire à faire n’importe quoi ! La démarche Développement Durable va bien au-delà de la simple composante économique.
Bien entendu, je ne mets pas de côté notre besoin criant en logements, mais avec un peu de courage politique, VENELLES disposerait sur son territoire de bien d’autres possibilités en particulier de l’autre côté de l’autoroute, autour de la rue des Michelons et du Collet Redon pour réaliser de véritables éco-quartiers en évitant l’étalement urbain (que malheureusement prévoit le futur PLU avec l’urbanisation par exemple du quartier du Barry).
En dehors de toutes échéances électorales, le sujet mérite débat.
Didier DESPREZ
14 réponses à “L’Éden… à l’est de l’autoroute ?”
De gros trous sont en formation sur le passage à niveau. A quand la remise en état ? lorsqu’un motard se sera fracturé les cervicales? La route départementale 96 n’est-elle pas à la charge de la mairie ?????
je vous recommande,sur le site du CIQ,la lecture du CR fait par D LAMBERT de la 3 ième réunion portant sur le quartier des michelons.
Très complet,il fait un point précis de la situation et des positions des différents protagonistes (majorité, opposition et associations)
http://ciqdevenelles.free.fr/?p=117
Venelles en Vie a publié ses questions sur le PLU et ses positions sur le site venelles-en-vie.fr
Voici les remarqes que j’ai déposées en mairie dans le cadre de l’enquête publique du PLU
1 – Comment est déclinée la compatibilité du projet de PLU avec le PLH de la Communauté du Pays d’Aix voté fin 2005 ?
L’art L 123.1 du code de l’urbanisme stipule que le PLU dont être compatible avec le PLH auquel il n’est jamais fait référence. Comment la politique communautaire de l’habitat et la solidarité entre les communes est-elle prise en compte ?
2 – Comment le projet de PLU permettra-t-il de tendre vers les obligations de l’article 55 de la loi SRU en matière de logement social, et de répondre aux besoins ? Comment seront tenus les objectifs du PLU ?
L’objectif affirmé dans le PADD de 1/3 de logements sociaux dans les nouvelles opérations, soit 363 logements pour un objectif de 1 100 logements nouveaux, permet un rattrapage de seulement 143 logements : cela suffit-il pour respecter la loi ?
Les servitudes pour mixité sociale inscrites dans la zone AU1, UE (zone d’activité) et quartier des Michelons, affirment une ferme volonté : néanmoins un rapide décompte montre que c’est seulement 50 à 60 logements sociaux qui sont envisagés sur AU1 et Michelons dont la moitié pour rattrapage, le nombre de logements en zone UE n’étant pas indiqué.
Pourquoi ne pas avoir appliqué la servitude de mixité sociale aux zones AU2, même si les conditions préalables à leur ouverture laissent sceptique sur l’échéance.
(On note que les servitudes pour mixité sociale ne figurent pas dans la liste des servitudes dans les annexes ????)
3 – Est-il bien opportun d’envisager de créer de l’habitat dans la zone d’activité ? N’est-ce pas en contradiction avec l’objectif « d’assurer le maintien et la pérennité des activités »? Le cadre et la qualité de vie des résidents ne souffriront-ils pas des nuisances de l’environnement immédiat ?
Pour une petite commune comme Venelles, la mixité des fonctions ne doit-elle pas s’apprécier à l’échelle de l’ensemble de la commune, qui est très majoritairement vouée à une fonction résidentielle ? Auquel cas ne conviendrait-il pas de chercher à renforcer l’activité économique et l’emploi ? Où ?
N’y avait-il pas d’autres secteurs susceptibles d’être ouverts rapidement à l’urbanisation, plus propices à l’implantation d’habitat ?
Quoi qu’il en soit, une véritable orientation d’aménagement sur la zone UE, en lien avec le reste de la commune n’aurait-elle pas été opportune ?
4 – Les Orientations d’Aménagement inscrites dans le projet de PLU méritent-elles cette appellation, étant réduites au minimum ?
5 – La notion de mixité sociale à travers la mixité des logements se résume-t-elle à un % de logements sociaux? Répartition entre accession et locatif ? Part des différentes catégories de logement social (du « très social » au logement intermédiaire) correspondant en elles-mêmes à une certaine mixité et à des besoins diversifiés? quel objectif en matière d’accession sociale ? Si un des buts affirmés est notamment de répondre aux besoins des jeunes ménages, l’accent ne doit-il pas être mis sur les différentes catégories de logements locatifs, sur les différentes catégories d’accession ? Le PADD au moins aurait pu énoncer une véritable stratégie en matière de diversité sociale.
Comment est déclinée la mixité sociale en termes de générations ? Quelle offre pour les personnes âgées, autonomes ou dépendantes ?
Et je rajoute dans ce blog : la notion de développement durable, souvent de fait conçue de manière restrictive (protection des espaces naturels et agricoles etc… ) ne devient-elle pas un argument de conservatisme social “politiquement correct”?
Ne permet-elle pas d’avoir bonne conscience pour protéger son environnement immédiat d’une urbanisation que l’on ne souhaite pas “à sa porte”? N’est-ce pas parfois une belle tartufferie ?
@Dominique
Il est assez probable que la quasi totalité des Venellois est d’accord pour construire, aménager le terrain des Michelons ; vous rappelez qu’il est placé en entrée de ville… justement c’est une raison supplémentaire pour ne pas y faire n’importe quoi.
Qui a parlé de magnifiques constructions…?
Certainement pas moi !! Fondamentalement je trouve inadmissible actuellement dans notre société dite moderne de payer 300 voire 450 k€ les 1000m2 de terrain (dont nous ne manquons pas), de s’endetter sur 30 ans voire plus (bientôt les enfants auront la chance d’hériter des dettes de leurs parents!) pour pouvoir simplement se loger et je ne parle pas ici de logements sociaux : la loi du marché a montré récemment ses limites, nous allons dans le mur et s’enfermer dans notre bulle, dans le petit confort de notre petit village (qui d’ailleurs à mon avis n’en a jamais été un) parce que, NOUS, nous avons eu encore la chance de nous loger est égoïste, suicidaire et finalement irresponsable. Et il est à mon avis un peu facile de toujours brandir et de mettre à toutes les sauces la protection de l’environnement,des
forêts,de l’agriculture et des agriculteurs ( dont je respecte profondément le travail) et maintenant le Développement Durable pour finalement, avec une certaine hypocrisie, protéger son petit chez soi et son propre bien être.
Je reste persuadé que la situation ( surtout dans notre région ) n’est plus tenable et que seule une intervention de l’état et/ou des collectivités publiques peut résoudre le problème.
La ou je te rejoins, Dominique, c’est qu’effectivement il ne faut pas faire n’importe quoi .Bien évidemment je pense que la protection de l’environnement, des ressources naturelles, du patrimoine doivent être des éléments à prendre en compte dans toute évolution, tout projet, tout aménagement du territoire. Tu parles de construction qui commencent à la Pointe Rouge et qui finissent à Pertuis, c’est bien ce que je veux éviter : l’étalement urbain, qui est un cancer de l’agglomération Aix-Marseille. Plus en Provence qu’ailleurs, le mitage des espaces naturels a profondément marqué notre paysage au cours des dernières décennies et, malheureusement, face aux pressions conjuguées des propriétaires fonciers et à l’expansion démographique cet étalement pourrait même encore gagner du terrain
dans certains secteurs. Et pourtant, “l’étalement urbain, çà coûte.. “, un coût à la fois financier, social et environnemental. Alors pourquoi pas des villages (ou des quartiers) nouveaux (2000 à 3000 hab) intégrant les impératifs du développement durable et permettant d’offrir à nos enfants des logements à des prix raisonnables ? Je l’avoue, je suis assez fana de ce type de projet: nous avons assez d’expérience pour ne pas reproduire les villes nouvelles de la région parisienne et assez d’intelligence pour construire un environnement cohérent, durable et fonctionnel avec des services de qualité : il faut simplement être un peu visionnaire et avoir un peu de courage politique.
Pour terminer de façon brutale, je pense que les évolutions prévues dans le PLU ne répondent pas à ce cahier des charges, bien au contraire : elles vont encore plus étaler notre territoire qui, plus est, sur des terrains au profil torturé et je réaffirme, sans honte, qu’une urbanisation maîtrisée au delà de l’autoroute dans le prolongement du futur quartier des Michelons et en continuité avec le parc des sports et ses futurs aménagements ne m’aurait pas choqué.
Le débat reste ouvert et je remercie Dominique pour s’être exprimé le premier.
Pour compléter, je pense, qu’un paysage doit se paufiner.
Ce qui n’est pas le cas de Venelles.
Je suis de ceux qui sont très sensibles à l’esthétique, pas toujours respectée à Venelles.
Traditionnellement, en Provence, on construisait autour de l’église, de la mairie en cercles concentriques.
On construit maintenant selon le besoin du moment, souvent à la va vite et n’importe comment : voir la zone artisanale. (Je veux dire par là qu’on voit à cet endroit, ce qu’on peut voir en PACA, Langurdoc Roussillon, Midi Pyrénées, etc.)
Des réussites existent, comme le quartier de la gare (où manque un gigantesque parking pour desservir le train qui arrivera bien un jour) ou encore l’église et son pourtour, à voir dans le futur.
Se préoccuper du quartier des Michelons, est une bonne chose, car l’entrée du village représente un peu une vitrine du lieu pour les visiteurs.
Un projet à faire sortir des cartons, c’est faire revivre le centre ancien de Venelles le haut, où toutes les potentialités de développement de petits commerces de proximité et sortie existent.
Ton billet m’a emballé Didier. Décidément, plus tu t’exprimes, plus je me rallie à ton raisonnement. Que de gâchis a provoqué ton éviction de la dernière consultation électorale sur la commune! Peut-être aurions nous aujourd’hui une opposition plus consistante.
Comme toi je pense que l’étalement urbain est un cancer de notre région, comme toi je pense que des quartiers nouveaux pourraient constituer une des réponses au drame du logement en tirant expérience des erreurs commises par la construction des villes nouvelles de la région parisienne.
Faut-il rappeler que ces villes nouvelles ont été pour la plupart érigées rapidement en une période ou pour répondre à leurs nécessités productives nos grandes entreprises faisaient venir à pleins bateaux des immigrés d’un autre monde, qu’il fallait bien caser quelque part. Le drame a toujours été que les décideurs qui nous gouvernent répondent aux besoins du moment sans prendre en compte les effets à plus long terme. Aujourd’hui ces villes nouvelles posent problème en créant des zones dites peu fréquentables et des charters ont remplacé les bateaux… dans l’autre sens.
Pour en revenir au déblocage de certaines zones déclarées intouchables par nos élus majoritaires du moment, il faudra bien un jour ou l’autre que la question soit posée sérieusement, mais je rappelle que certains élus du moments dans l’opposition partagent la même résistance au déblocage des zones de l’autre coté de l’autoroute.
Une chose me paraît certaine il ne faut pas attendre une telle décision du pouvoir local actuel, je retiens en ce sens le souci exprimé par le maire pendant sa campagne de préserver la sociologie (sic) actuelle à Venelles. Peut-être pour ne pas effaroucher son électorat, mais surtout pour ne pas le déséquilibrer par l’arrivée d’électeurs moins favorables pour lui. Comme quoi les choix politiques ne sont pas toujours faits dans l’intérêt général mais plus souvent sur des considérations autres.
La politique de l’autruche ne marche qu’un temps : la situation de Venelles au regard de la loi SRU est très épineuse, et le PLU ne semble pas en avoir pris toute la mesure.
L’arrêté de carence date de plusieurs années et le nombre de logements sociaux n’a pas augmenté d’une unité depuis que le préfet l’a signé. Un jour la commune va recevoir une mise en demeure du préfet, où là il sera difficile de refiler le bébé aux voisins, et si on persiste sur la ligne “statu quo”, c’est le préfet lui-même qui décidera des constructions, et, il y a fort à parier qu’il n’hésitera à enjamber l’autoroute.
Aucun projet, quel qu’il soit, ne recueille l’unanimité mais l’immobilisme mécontente, à terme, tout le monde.
Suite aux commentaires précédents je rappellerai que l’opposition préconisait (encore aujourd’hui) d’urbaniser les terres agricoles du domaine de Violaine.
Épargner les terrains agricoles, tant que ce sera possible, est une affaire de bon sens mais il faudra bien, un jour ou l’autre, avoir la volonté de prendre à bras-le-corps les problèmes de logement.
Les 4 propositions de Jean-Louis Vayssière :
http://13770.org/2009/02/15/plu-n%E2%80%99en-jetez-plus/
@Dominique
– Des terrains existent dites-vous… où ? à quel prix le m2 ? disponibles ?
– Dans le grand sud, Aix, Marseille, Venelles tous ne cherchent pas des maisons néo-provençales.
– Avant de penser tourisme ne faudrait-il pas penser à ceux qui ne peuvent se loger ?
– Certainement, on ne fournira pas ceux qui ont faim en Afrique et en Asie avec la production de l’agriculture méditerranénenne surtout si, réchauffement climatique oblige, il faut de plus en plus d’eau.
En conclusion, pour revenir à l’objet de cet article, ne serait-il pas plus sage de construire un véritable éco-quartier sur des terres agricoles plutôt que n’importe quoi en centre ville ?
Le commentaire de Didier Desprez ne manque pas de sens.
La question est de savoir, si nous souhaitons rester une zone touristique, ou si nous voulons, à terme, que les constructions commencent à La Pointe Rouge et finissent au Nord de Pertuis sans interruption.
Si oui, notre industrie locale a quasiment disparue, nous ferons disparaître le tourisme.
Donc, non nous n’avons pas le droit moral de construire n’importe où, toujours, et de plus en plus.
Des terrains existent, évitons donc les magnifiques constructions néo provençales, ostentatoires, économisons le terrain agricole.
D’après les derniers chiffres ONU, près de 1 milliard d’individus ne mangent pas à leur faim sur terre. Mais nous, les Français du Sud, nous nous posons encore la question de savoir, si nous allons construire sur les terres cultivables… C’est irresponsable et égoïste.
La seule question humainement intéressante et de protéger les terres cultivables.
Venelles zone touristique ? Ce n’est pas ce qui saute immédiatement aux yeux quand on traverse cette petite ville, mais si vous le dîtes cela doit être vrai. Je n’avais pas non plus noté que le parc des sports était un îlot au milieu des terres cultivables, mais je n’ai sans doute pas bien regardé.
J’ai aussi un peu de mal a évaluer l’impact qu’aurait, sur la famine dans le monde, la construction de quelques centaines de logements à Venelles, mais vous avez surement des prospectives chiffrées qui cloueront le bec à l’ignare que je suis.
Et puis, mais là c’est une considération tout à fait personnelle, mais que, néanmoins, je regrette de ne pas partager avec vous : j’ai le plus grand mal à interdire à autrui la jouissance de ce dont j’ai bénéficié, pourquoi moi et pas lui, il est vrai que l’on voit le plus souvent les choses sous un autre angle : pourquoi lui et pas moi.
Vous terminez par “pourquoi lui et pas moi”
Mais c’est exactement le contraire de ce que j’ai essayé de vous démontrer, preuve en est, que je m’y suis mal pris.
Un possesseur de 4X4, en soi, n’émet pas énormément de CO². Le 4X4 étant pourtant le véhicule particulier, qui rejette en moyenne le + de CO² dans l’atmosphère. Alors que, les millions de 4X4 posent véritablement un problème : donc le 4X4 pose un problème à la base et au final à la santé mondiale.
Je ne veux pas interdire, quoi que ce soit, à quiconque, je dis simplement, d’après une émission radio écoutée hier justement, que 854 millions de gens ne mangent pas à leur faim sur terre. Nous n’y sommes individuellement pour rien, mais collectivement : oui.
Même chose pour les terres cultivables, pourquoi construire facilement sur une vigne ?
Alors que d’autres terrains sont disponibles ?
Oui, il est aberrant, que les Français construisent sur ce genre de terrain, surtout avec du néo-local, pas toujours en harmonie avec l’alentour et souvent ostentatoire.
Un problème de toute première importance, (les constructions sur des terres cultivables) qui remet en partie, la loi de décentralisation en cause.
En effet, un maire peut être relativement facilement influencé, pas une administration, encore que, mais c’est plus difficile. Les problèmes de l’appât du gain, de la descendance, de la spéculation immobilière, etc. se posent, il faudra les régler d’une façon ou d’une autre : le mot “liberté” est là, bien galvaudé et c’est un palliatif.
En clair, ne faisons pas n’importe quoi avec des bons sentiments, c’est facile de prime abord, mais après, difficile à recaler éventuellement le cadre de l’équilibre naturel…
Regardons les constructions réalisées autour de la gare, qui sont en harmonie avec l’existant. Rappelez vous l’avant construction : des hangars disseminés un peu partout : hideux !
Preuve qu’avec une volonté on peut construite de manière harmonieuse ! Je ne vous dis pas autre chose sur le sujet présent, entre autre.