Sur le plateau entre Venelles et St Marc Jaumegarde, je connaissais les chèvres mais pas le berger, un personnage singulier, étonnant. →


Sur le plateau entre Venelles et St Marc Jaumegarde, en VTT, nous passons régulièrement près d’un troupeau de chèvres, des bêtes magnifiques avec des cornes torsadées, des chèvres du Rove me dit le berger. Habituellement nous ne nous attardons pas, les gros chiens du berger aboient et, même s’ils ne sont jamais sortis de leur enclos, nous préférons prendre quelque distance. Aujourd’hui j’allais à la rencontre de mon épouse qui arrivait à pied de Venelles accompagnée d’une amie et de Bounty, petite chienne noire, tenue en laisse. Je m’inquiétais un peu de la possible rencontre avec les gros chiens. Quelques propos échangés avec le berger me rassuraient et aussi… attisaient ma curiosité. Quelques paroles seulement, la pluie et le beau temps et bien sûr les chèvres. À son arrivée en 2004 il avait près de 300 bêtes, il lui en reste moins d’une centaine… mortes à cause de la sécheresse des étés provençaux. Une phrase en amène une autre, il me dit alors que je pouvais le trouver sur internet, simplement, en tapant flèche brûlée dans un moteur de recherche ce que j’ai fait dès mon retour. Et là j’ai découvert son histoire…

Vous pouvez découvrir cette histoire en feuilletant les différents sites de Flèche brûlée depuis sa jeunesse jusqu’aux difficultés actuelles avec la mairie de St Marc, l’ONF, les forces de l’ordre et même les vétérinaires.

Ce nom, Flèche Brûlée Mais Non Pas Consumée lui été donné courant janvier 1998 par ÉLÈONORE TECUMSEH SIOUI, chamane et mère spirituelle du Peuple amérindien Huron.

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