« Le procès verbal ne relatant pas l’exactitude des débats et lors du dernier conseil municipal ayant été mis en cause, je me dois d’apporter certaines précisions sur les allégations mensongères de notre collègue Robert Chardon à propos du Tribunal Administratif et de l’annulation du P.L.U. » → Déclaration de Pierre Morbelli
6 réponses à “Mise au point de Pierre Morbelli”
et les accousmies???? c’était une belle manisfestation aussi celle-là. Balayée:: pourquoi?
Au delà des procès il faudrait tirer les leçons et le coût de ces deux mandats, en terme financier évidemment (combien de procès perdus contre Pierre Morbelli ?) mais aussi en terme humain (OMCJ balayée, festival Off and Back balayé, foire du pays d’Aix… exit ! Comité des fêtes ?… adios !).
Et il est peu crédible que tous les organisateurs de ces manifestations aient été des incapables. Il est plus probable en revanche qu’on leur ait mis des bâtons dans les roues.
Tiens, les prochaines bacchanales du jazz… allez-y ! cela promet !
Et qui paye tous ces procès et autres frais juridiques? les procés intentés sont au titre de la commune ou à titre personnel en ce qui concerne le maire? beaucoup de procès (OMCJ/SAUR) ont été payés par les deniers communaux donc notre argent alors que les poursuites étaient personnelles, non ????? qui pourra répondre. Il faudrait que l’opposition aille mettre un peu le nez dans les finances communales et la rubrique “frais de justice”???????
Pour des élus, remettre en cause une décision de justice parce qu’elle se fonde sur un vice de forme, c’est, pour le coup, un vice de bon sens !
Je n’y connais rien bien sûr mais je suis étonnée que l’on puisse faire reproche à un élu d’avoir témoigné et dénoncé des erreurs de procédures graves.
A Venelles on a instauré la politique des voisins vigilants qui implique que chaque acte suspect soit signalé. La mairie en serait-elle exemptée ?
L’accusation, Pierre, n’est pas nouvelle… La lettre adressée aux venellois et mettant dans la ligne de mire les quatre personnes qui ont déposé un recours n’était déjà pas normale dans la mesure où elle relevait de la propagande et niait purement et simplement une réalité juridique.
La réponse de Robert Chardon sur ce blog est hélas du même niveau. je cite in extenso :
“Mais nous continuons à penser que c’est une faute politique pour un élu que de témoigner sur un problème de forme contre un document aussi important pour le développement de notre commune”.
C’est la politique du “pas vu, pas pris”. En gros le soi-disant intérêt de la commune légitimerait n’importe quel vice de forme. Cela n’est pas acceptable car nous sommes encore dans un état de droit !
Si le premier magistrat (le terme n’a pas été choisi au hasard), ou son représentant, se permet de s’absoudre d’une application rigoureuse de la loi et donc des formes, alors à quoi sert la loi ?
Dès lors, que les élus de la majorité soutiennent une ligne de conduite visant à laisser entendre que vous êtes le méchant dans l’histoire et qu’eux sont de malheureuses victimes qui se sont quand même faits retoquer par un juge, cela n’a rien d’étonnant.
Ce qui aurait été étonnant par contre, cela aurait été d’entendre ces mêmes élus faire leur mea culpa, reconnaître qu’il y avait eu plusieurs erreurs de commises et affirmer qu’ils allaient LES CORRIGER pour éviter que le problème ne se renouvelle.