SOS Amitié, une bouée dans un océan de douleur
Le petit téléphone noir du local de l’association a sonné 12 000 fois en 2011, soit 1000 fois par mois, au moins 30 fois par jour. Sans compter les appels manqués parce que la seule ligne était occupée à panser des plaies ou parce qu’il n’y avait personne au bout du fil, faute de volontaires, laissant d’autres plaies béantes. La Provence du 16 septembre