Au début de l’avenue des Faurys, nous avions une boîte à lettres bien placée au rond point, on pouvait s’arrêter au passage pour y déposer notre courrier ; j’ai encore vu il y a quelques jours un monsieur dépité remonter dans son véhicule une lettre à la main. Un beau matin elle avait disparue sans que l’on sache pourquoi ! Un encart de La Provence du 18 mai nous apprenait qu’elle avait été volée alors qu’un facteur pensait qu’elle avait été enlevée. Que croire ? Un lecteur me rappelle que la boîte qui se trouvait au bas de l’allée des Chênes sur le Claou avait été enlevée à l’occasion des travaux de réfection de l’avenue et n’avait jamais été remplacée. La Poste organiserait-elle la disparition des boîtes coûteuses à relever chaque jour ?