La Provence de dimanche dernier 24 août met en avant une agricultrice venelloise, Françoise, adepte des circuits courts. Voilà une nouvelle façon de consommer qui a le vent en poupe : les circuits courts. Comme d’autres agriculteurs du village, Françoise a compris que ce choix de commercialisation est le seul qui puisse sauver le monde agricole en respectant les producteurs.
Une autre façon de manger sain et bio des produits locaux fraîchement cueillis est d’adhérer à une AMAP, Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne, destinées à favoriser l’agriculture paysanne et biologique qui a du mal à subsister face à l’agro-industrie. AMAP Venelles – Manger bio près de chez soi
6 réponses à “Agriculture et circuits courts”
De temps en temps on voit le véhicule électrique avec les deux balais devant des services techniques qui fait entretien des rues de la commune. Pourquoi cette personne ne serait-elle pas accompagnée d’une autre personne afin de couper l’herbe qui envahit certains trottoirs (allée des tilleuls, avenue de la grande terre, etc, etc…) d’autre part, Monsieur le Maire, il a été installé un distributeur de sacs ramasse-crottes à l’allée du parc. c’est très bien. Pourquoi ne pas en installé un aussi sur l’avenue du Jas de violaine Beaucoup de personnes promènent leur toutou et cela serait bien utile. Et le talus de cette avenue, il va être aménagé quand? à la Saint Glinglin. Il est vrai que peu d’élus ne doivent habiter dans ce quartier, car lorsqu’on passe sur le vallon du Claou c’est magnifique des lauriers roses de partout bien entretenus. c’est la seule rue de Venelles qui est vraiment jolie……….. A bon entendeur salut.
Vous avez bien raison. Une question me vient :
Le responsable de la sécurité civile pourrait il nous dire combien de procès verbaux ont été dressés depuis que les panneaux précisant les risques encourus ont été apposés ?
J’ai peur que ce chiffre soit ridiculement faible en comparaison des déjections visibles.
Actuellement des travaux empoisonnent la vie des venellois que nous sommes qui veulent aller au travail. Pourquoi la police municipale ne dévie-t-elle pas la descente de l’avenue de grande bégude par la rue de l’agnel et vers le vallon du Claou et laisser la route libre aux véhicules qui vont vers l’autoroute ou rentrent dans le village Pourtant ce n’est pas sorcier à mettre en place une déviation. Il est vraiment inadmissible d’avoir le village complètement saturé le matin à 8h/8h30 au moment où nous allons au boulot. Mais que font les services techniques ?
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Voici des années que Françoise vend ses produits sur la commune et nous n’avons qu’à nous en féliciter, mais c’est curieux de redécouvrir une pratique de toujours !
Des gens, comme elle, auraient besoin d’aide et surtout de reconnaissance.
Les mairies devraient mettre des clauses genre : obligation, pour les entreprises publiques de restauration, de se servir, que dans un rayon de 40 km, la production de proximité en serait renforcée dans son travail.
J’approuve le point de vue de la maraîchère Françoise et j’achète ses légumes avec plaisir : fraîcheur et saveur des produits, convivialité des relations car toute la famille a le sourire. Aucun problème de traçabilité puisqu’elle vend ce qu’elle produit sur la commune. Et l’important travail de culture est rémunéré grâce à la commercialisation directe.