Suzanne Lamouroux, réagit aux commentaires qui ont suivi l’article annonçant l’AG du CIQ. Dans l’un d’eux je regrettais la faiblesse des associations citoyennes que j’expliquais par le faible nombre des adhérents et plus encore par le peu d’adhérents engagés et actifs. Dans l’historique qui suit Suzanne retrace 25 années d’actions citoyennes et nous dit sa foi dans l’avenir.
EXTRAITS : Suite aux commentaires lus à propos de l’Assemblée Générale du CIQ prévu le vendredi 23 octobre, 18 h 30, salle des Faurys, j’ai réalisé un petit compte rendu présentant l’historique des associations citoyennes constituées à Venelles depuis 1990, du moins celles auxquelles j’ai participé ou dont j’ai connaissance. (…) Les associations dites citoyennes sont des structures de concertation voire de « veille » pour la vie de la commune. L’essentiel étant d’exister pour agir démocratiquement. Inutile de les dénombrer, rejoignons-les. Je me réjouis d’ailleurs de constater que la relève est assurée.(…) Je rappelle que les associations citoyennes ne reçoivent aucune subvention de la municipalité ce qui est la garantie de leur indépendance. L’essentiel est qu’elles existent pour se mobiliser le moment venu pour la concertation ou l’action. Cessons de compter leurs adhérents, investissons-nous et remercions celles et ceux qui y consacrent du temps.
Suzanne LAMOUROUX – Des associations « citoyennes » pour quoi faire ?
2 réponses à “Des associations « citoyennes » pour quoi faire ?”
19 commentaires en sus de celui-ci, sur un titre légèrement différent, on s’y perd mais on y trouve aussi.
Du coup, l’info y est, quelque part, fraiche ou archivée, dans 13770-Venelles:
http://13770.org/2015/10/17/ciq-de-venelles/#comments
Base (officieuse) pour écrire un article, éventuel. A combiner avec les “données” officielles. Et autres données, DATA.
Bonjour Suzanne,
Je suis entièrement d’accord avec vous.
Leur socle commun est l’engagement citoyen dans la vie de la cité (et au delà).
Je pense que cet engagement devrait être a minima valorisé par les élus ; mais plus certainement encore, pris en compte par un travail en partenariat avec les “décideurs” en amont des projets structurants.
Elles participeraient à leur élaboration à part entière et exerceraient ainsi, “l’expertise d’usage” qui est tout aussi constructive et importante que “l’expertise des experts”.
C’est l’échelon minimum de la mise en place d’une “autre gouvernance” qui était dans les promesses et propos de tous les candidats aux municipales de Venelles.
Enfin, si un rôle réel (et non pas seulement de consultation) était structuré et donné aux associations dans une vraie volonté politique (et non un seul affichage électoral) de nouvelle gouvernance alors peut-être que la citoyenneté reprendrait quelques couleurs …?
Nous verrons ce que la nouvelle équipe souhaite faire dans ce domaine.
Evelyne Coursol