Il l’avait annoncé avant d’être élu Maire. Il le fait. Arnaud Mercier, le maire. Un projet municipal, médical. En vue, d’ici 4 ans, l’ouverture d’une « Maison de santé (pluridisciplinaire), de garde, médicalisée (pour personnes âgées), d’urgentistes, centre médical, etc. » (On recherche d’autres versions …/…) Et commençons par le commencement, se rencontrer, tous se connaitre.
Et là, « LE » problème conséquent, soit sur le sens précis de la « Maison » à choisir. Et ses « implications ».
Voilà donc, une première. Réunir les praticiens de la santé venelloise. On en profite pour croiser le service social Campanella, avec tous ces braves travailleurs indépendants qui n’en peuvent plus.
À lire chez Martial Maurette la suite de l’article → Prise de température: 39,5
4 réponses à “Température : 39,5”
Si vous arriviez à rester dans le sujet précis : Venelles, Santé, Besoin ou pas d’une Maison de « …Choix cornélien», Rencontres et Échanges entre praticiens locaux, …il pourrait y avoir débat utile.
Si donc, vous pouviez répondre à mes questions, précises à et pour Venelles, je vous en saurai gré Bernard Hocq.
Nous ne sommes pas, ici, sur FB.
Avant de parler revenu, il serait intéressant de savoir ce que nous voulons car il ne faut pas oublier que notre système de santé est financé par un poste qui s’appelle, “impôts et taxes”. L’époque où Jean François Mattei, ministre de la santé nous expliquait que les cotisations URSSAF n’étaient pas vraiment des prélèvements mais un investissement, des salariés et des employeurs est révolue…
Merci de l’avis… très partial et trop peu argumenté, ni sourcé. (Commentaire …Politicien ?)
– Est-ce bien utile de contrer systématiquement ?
– Quelles sont les urgences, pour vous, Bernard Hocq ?
– « La Santé » est-elle affaire de Qualité ou de Quantité ?
– Le « bien-vivre, tranquille, à Venelles » serait-il interdit pour ces professionnels ?
Je trouve qu’avoir pu réunir ces professions de santé est déjà très bien. Tous, les prochaines fois, ce sera encore mieux.
(Aparté : Ouvrir au petit débat politicien, immanquable et chronophage, de prise du pouvoir de la mairie, en face des bonnes volontés médicales et paramédicales, en vue d’un proche avenir venellois, les fera fuir.)
Nombre de solutions (complémentaires ou contradictoires, indépendantes ou politiques) sont plausibles sur des « mots très précis », qui correspondent à des actes, actions, réactions (et conséquences…) toutes aussi précises.
– Passera-t-on par des opérations entre indépendants mutualisés, des dossiers très-trop compliqués vers le département ou autres administrations, une aide municipale soulageant la logistique administrative, un financement immobilier par un lobbying, vague entité nébuleuse mais affairiste ?
– Seront-elles possibles à Venelles où les prix immobiliers sont devenus déments, grâce à …tous ?
Ce qui, pour un renouveau des services « Santé » venellois, implique (beaucoup, dont) une demande de « salaire » à la hauteur ; 23 €, dans l’immédiate consultation, pour la spécialité « généraliste » est incompréhensible, (…Non ?), quand le spécialiste « esthétique » prend 400 €, la séance, après 6 mois d’attente d’un rendez-vous. Voir 150 pour un rebouteux recommandé par la voisine de sa tante, qui l’a vu sur internet.
Aujourd’hui, en France !… , en ce XXIème s. …! , il n’existe guère de jeunes lourdement diplômés (7 à 10 ans d’études aux sommets, donc vos enfants et petits-enfants), qui veuillent s’astreindre à répondre professionnellement à cette nouvelle consommation, sans avoir une vie de famille « normale » , ni un « salaire » décent.
Il est intéressant (d’essayer) de comprendre qu’il y a un désaccord total, entre l’économie déplorable actuelle et la demande de consommation (?), qui s’étend à « La Santé Française ».
Encore plus intéressant (d’essayer), au moins, d’en partager et faire avancer des solutions.
A et pour Venelles.
Il y a deux manières de procéder :
1. Faire un centre commercial de plus sur Venelles avec des loyers énormes, des dépassements d’honoraires, et un réseau transversal qui permet de transformer une consultation pour un petit “bobo” en une série d’examens avec parfois des antennes dans le réseau des cliniques tout en se déchargeant des urgences.
2.Faire un centre médical où la mutualisation des moyens offre des loyers modérés, pour permettre notamment au jeunes de s’installer tout en gagnant correctement leur vie, sans dépassement d’honoraires, avec des horaires corrects pour eux, avec une amplitude d’ouverture pour les patients et en rendant un service 7 jours sur 7, donc en assurant les urgences.
Voilà modestement l’avis d’un “consommateur de santé” qui connait malheureusement très bien le sujet, comme beaucoup de nos concitoyens.