Conseil municipal du 20 mars

Examen de l’eau à la loupe et nouvelle monnaie locale – La Provence du 26 mars 2018
- Le nouveau directeur de la REVE, Dominique Giordano, a été présenté au conseil
- Ce dernier était déjà arrivé il y a quelques mois avant de repartir pour des raisons floues.
- (…) un état catastrophique de la station nord, un manque total de jouvence des réseaux, l’accumulation chaque année d’un excédent très important qui aurait pu être utilisé soit pour baisser le prix de l’eau…
- L’adhésion de la commune à l’association MLPA en lien avec le développement du covoiturage
- C’est un peu le même principe que BlablaCar sauf que le chauffeur sera dédommagé en roues…
26 mars 2018
DD | 1 134 vues
4 réponses à “Conseil municipal du 20 mars”
“Manque total de jouvence” ! Que diantre ! et que cache donc ce sens obscur ? Du Ronsard ? > “L’an se rajeunissait en sa verte jouvence,
Quand je m’épris de vous, ma Sinope cruelle (…)”
Ronsard, Pièces retranchées, Les Amours, Sonnets.
Quant à la “roue”, Gérard Ponthieu, ce fut un moyen de supplice réellement utilisé.
Ha ! cher Martial, je comprends enfin mieux votre réticence en filigrane d’un de vos derniers commentaires face à l’arrivée de la Roue à Venelles. En fait, la roue est un sujet qui tourne autour de plusieurs thèmes, et je vous rassure la Roue évoquée ne fait de mal à personne, sauf éventuellement aux financiers. 😉
Votre commentaire poétique m’a interpelé, et je suis donc allé cherché la définition du mot “jouvence” : “Eau, bain de jouvence, ce qui fait rajeunir quelqu’un, lui redonne de la vitalité. Fontaine de Jouvence, source fabuleuse de la mythologie dont les eaux avaient la propriété de rajeunir (avec majuscule)”.
Bref, même si ce mot ajoute “sens obscur”, voire “poétique”, j’en comprends mieux l’idée. Effectivement, je me souviens que lors d’une conférence sur le sujet, le maire de l’époque, Mr Saez (c’est donc assez ancien), avait expliqué que les réseaux d’eau du département, et plus précisément de sa commune de Venelles étaient de véritables passoires mal entretenues qui perdaient d’énormes quantités d’eau. (Je crois me souvenir que c’était de l’ordre de 20% du volume d’eau passant dans ces réseaux, c’est énorme si ce chiffre est confirmé).
Ceci dit, mettre un peu de poésie aqueuse dans ce monde sec et cruel permet sans doute de rendre les débats plus “coulants”.