Le maire, Arnaud Mercier, rappelle : « Les aménagements devant être pris en charge par la commune ont été réalisés, conformément au diagnostic établi après le tragique accident mortel de 2016 »
Le président du CIQ, Patrick Michaille, déplore : « Tout le monde se renvoie la patate chaude et nous nous retrouvons coincés. »
La Provence du 2 février titre, Passage à niveau : les tensions persistent.
2 réponses à “Passage à niveau… statu quo”
Même s’il n’y a pas encore d’accord entre les parties pour aménager ce passage dangereux, je ne comprends pas pourquoi la mairie ne fait pas des aménagements à minima et peu coûteux pour permettre aux piétons et cyclistes de traverser ce passage en meilleure sécurité : il y a rétrécissement sans trottoir sur un sol défoncé qui laisse moins d’un mètre entre la chaussée et un simple grillage.
Même 2 piétons ont du mal à se croiser, sans parler des mamans avec poussette ou des enfants à vélo qui suivent consciencieusement la piste cyclable qui les amène sur cette chicane dangereuse.
https://www.google.com/maps/@43.586238,5.4752308,3a,75y,83.93h,69.9t/data=!3m6!1e1!3m4!1sIGTpKIvnr_p_gFOkj9ezRQ!2e0!7i13312!8i6656
Pour le coup, depuis qu’on parle de la dangerosité de ce passage, si un accident survenait personne ne pourra dire : “on ne savait pas…”
Bon nombre d’automobilistes s’engagent encore sur ce passage à niveau sans avoir l’assurance de pouvoir en ressortir d’un seul jet et se retrouvent quelquefois, cela du à un fort trafic, arrêtés en plein sur les rails. D’où mes deux questions : Pourquoi n’y a t-il pas un damier imprimé sur ce passage afin de dissuader les automobilistes de s’y engager imprudemment ? Pourquoi n’y a t-il pas de police ou de gendarmerie pour sanctionner ces automobilistes qui se retrouvent coincés sur les rails ? Précisons que le code de la route implique de pouvoir s’y engager que si la voiture est en mesure de le traverser totalement sans avoir à s’y arrêter ! Merci