Bonjour à tous,
La vie économique de nos territoires : Nos villes, nos communes, nos territoires deviennent de plus en plus des plateformes logistiques pour distribuer tous les achats et besoins des consommateurs, avec une augmentation des transports (pollutions en tout genre) avec très peu de mutualisation de ceux ci.
Tout cela n’apporte aucune production de richesse à nos territoires.
Il faudrait travailler sur l’enracinement de l’économie sur nos territoires.
Renforcer les liens entre producteurs et consommateurs et les faire connaitre. Il faudrait retrouver une autonomie de nos territoires cela aura certainement des conséquences positives sur l’environnement.
L’autonomie de nos territoires doit être optimisée et surtout pas devenir totale cela n’est ni souhaitable ni envisageable.
Dans les administrations qui gèrent nos territoires, la région, le département, les communautés de communes, les villes, est ce que les orientations pour les besoins du présent sont suffisamment étudiés sans compromettre les besoins des générations futures ?
Je ne sais pas pas si c’est le thème du sujet, mais puisqu’on peut déposer une suggestion…
En tant que salarié citoyen, je suggère que l’écart entre le plus bas salaire et le plus haut salaire dans une même entreprise ne dépasse pas le ratio de 1 pour 20, voire 30 ou 40 dans certains secteurs…
Par exemple, si le plus bas salaire dans l’entreprise est le SMIC (pour rappel 1200 € net mensuel au 1 janvier 2019), le plus haut salaire ne doit pas dépasser (1200 x 20), soit 24000 € nets mensuels !
(A noter aussi que généralement, les hauts salaires s’accompagnent de bien d’autres avantages : voiture et logement de fonction, mutuelle avantageuse et offerte, stocks-options, retraite complémentaire, retraite chapeau, et j’en passe et des meilleurs…).
C’est un débat vieux comme les premiers débats sur l’économie : “Dans les années 1930, l’industriel Henry Ford, grande figure du capitalisme, estimait que pour être « admissible », l’échelle des salaires au sein d’une entreprise ne devait pas dépasser 1 à 40″.
Aujourd’hui, 89 ans après l’avis de ce premier patron capitaliste, l’écart de salaire dans certaines entreprises dépasse allègrement les 1 à … plusieurs milliers !….
Comme dit mon plombier :”L’économie c’est simple comme la plomberie : si d’un côté il y a des canalisations disproportionnées qui siphonnent tous les flux, forcément de l’autre il n’y a plus rien et tout est asséché”. CQFD !
3 réponses à “Grand Débat avec le CIQ”
Bonjour à tous,
La vie économique de nos territoires : Nos villes, nos communes, nos territoires deviennent de plus en plus des plateformes logistiques pour distribuer tous les achats et besoins des consommateurs, avec une augmentation des transports (pollutions en tout genre) avec très peu de mutualisation de ceux ci.
Tout cela n’apporte aucune production de richesse à nos territoires.
Il faudrait travailler sur l’enracinement de l’économie sur nos territoires.
Renforcer les liens entre producteurs et consommateurs et les faire connaitre. Il faudrait retrouver une autonomie de nos territoires cela aura certainement des conséquences positives sur l’environnement.
L’autonomie de nos territoires doit être optimisée et surtout pas devenir totale cela n’est ni souhaitable ni envisageable.
Dans les administrations qui gèrent nos territoires, la région, le département, les communautés de communes, les villes, est ce que les orientations pour les besoins du présent sont suffisamment étudiés sans compromettre les besoins des générations futures ?
Je ne sais pas pas si c’est le thème du sujet, mais puisqu’on peut déposer une suggestion…
En tant que salarié citoyen, je suggère que l’écart entre le plus bas salaire et le plus haut salaire dans une même entreprise ne dépasse pas le ratio de 1 pour 20, voire 30 ou 40 dans certains secteurs…
Par exemple, si le plus bas salaire dans l’entreprise est le SMIC (pour rappel 1200 € net mensuel au 1 janvier 2019), le plus haut salaire ne doit pas dépasser (1200 x 20), soit 24000 € nets mensuels !
(A noter aussi que généralement, les hauts salaires s’accompagnent de bien d’autres avantages : voiture et logement de fonction, mutuelle avantageuse et offerte, stocks-options, retraite complémentaire, retraite chapeau, et j’en passe et des meilleurs…).
C’est un débat vieux comme les premiers débats sur l’économie : “Dans les années 1930, l’industriel Henry Ford, grande figure du capitalisme, estimait que pour être « admissible », l’échelle des salaires au sein d’une entreprise ne devait pas dépasser 1 à 40″.
Aujourd’hui, 89 ans après l’avis de ce premier patron capitaliste, l’écart de salaire dans certaines entreprises dépasse allègrement les 1 à … plusieurs milliers !….
Comme dit mon plombier :”L’économie c’est simple comme la plomberie : si d’un côté il y a des canalisations disproportionnées qui siphonnent tous les flux, forcément de l’autre il n’y a plus rien et tout est asséché”. CQFD !
Je suggère en même temps, le respect des horaires TV et la suppression de la publicité TV.
JP Garro