Depuis quelques semaines nous l’entendions crier dans les arbres pas très loin de l’avenue des Faurys mais il ne se montrait pas. Il est réapparu vers le Clos de la Bosque, tranquillement, comme s’il revenait chez lui après une longue absence… voici quelques photos, pas excellentes mais qui permettent de voir qu’il est toujours aussi beau, plus même, Rénée pense que sa queue a pris 50 centimètres depuis l’année dernière… chez Régis il trône sur le pilier. (Merci à Renée et Régis pour les photos)
14 réponses à “Léon est revenu”
Ponthieu: Pour ne plus entendre les oiseaux les coqs les paons allez habiter en Sibérie vous serez tranquilles et nous bons venellois on ne vous entendra plus râler.
C’est pas sûr que la Sibérie soit l’endroit le plus adapté pour ne plus entendre les chants d’oiseaux et les sons de la Nature sauvage. Certes, il y a de grands espaces vierges, mais un de mes amis m’a dit qu’en Sibérie il y avait de nombreux loups qui hurlaient en meutes, le soir. ( https://www.youtube.com/watch?v=XFDlpkfjwIk )
Hormis le fait qu’un paon est sans doute moins dangereux qu’un loup, le cri du paon est aussi moins inquiétant le soir que celui du loup, et le paon ne chante pas la nuit…
Donc à choisir, autant faire l’effort d’apprécier le chant du paon, le fameux Léon Léon Léon, enfin c’est ce que je pense !
Pas de soucis, il y aura toujours des grincheux.
Léon inspecte le chantier avenue des Faurys.
Les mystères du cerveau humain !…
A force d’entendre le bruit incessant de la pollution sonore, à savoir tous ces vacarmes permanents de voitures, camions, motos et autres tondeuses et tronçonneuses dominicales, dès que ces bruits urbains cessent, le cerveau humain en déduit qu’il se passe quelque chose d’anormal et se met en mode ERROR !
L’étape cérébrale suivante est de déduire que les sons inhabituels sont désagréables, et du coup les chants d’oiseaux harmonieux, oubliés depuis quelques décennies, deviennent insupportables pour certaines oreilles.
La bonne nouvelle est que le cerveau humain bénéficie d’une grande plasticité, ce qui lui permet de se reconfigurer rapidement.
Bref, il suffit de se refamiliariser avec les cuicuis ambiants, qui redeviennent audibles et plus que naturels en cette période de confinement spécifiquement humain, pour les retrouver agréables dans peu de temps.
Donc courage et patience et vous retrouverez le goût d’entendre la nature.
Sinon, pour gagner du temps, vous pouvez d’ors et déjà réviser à la maison ici : https://lpo-idf.fr/?pg=sn
Ne me remerciez pas, ce n’est que de la Science et je fais ça pour le bien-être de l’Humanité … et de la Nature !
Bon, je vous laisse, je viens d’entendre un nouveau bruit que je dois réapprendre… Ha, ce n’est que mon voisin qui me dit bonjour de loin !
Bientôt, les paons n’auront plus à supporter les irascibles voisins, humains ciblés par le virus et si vigilants du silence Venellois…
L’année dernière : https://13770.org/2019/05/14/les-paons-indesirables/, une plaisanterie…
Il y a 2 ans maintenant un couple de paons (le mâle et sa femelle) étaient venus dans le quartier du Castellas.
Ils étaient restés quelques temps avec nos poules, en passant d’un jardin à un autre, et nous avions pensé qu’ils s’étaient échappés d’une propriété voisine. Nous avions téléphoné un peu partout où on nous avait indiqué qu’il y avait des paons mais aucun paons recensé n’avait disparu.
Finalement, un garde forestier de Puyricard nous avait dit qu’il s’agissait de paons connus depuis des années et qui avaient retrouvé une vie plus ou moins sauvage et qui se baladaient de quartiers en quartiers.
Ce sont donc à priori des paons qui n’ont plus de propriétaire et qui se sont donc émancipés de l’autorité et de la tutelle humaine.
Avant nous avions des moineaux domestiques qui piaillaient bruyamment, mais qui ont aujourd’hui quasiment disparu de nos villes et campagnes. Maintenant les moineaux sont remplacés par des paons. Ca reste un volatile… plus gros, plus coloré et plus bruyant !
Ils ont changé de quartiers… l’année dernière on les a beaucoup vus entre les Faurys et la Bosque, cet hiver ils ont disparu, on a cru qu’ils étaient rentrés au bercail, en mars on les a entendus pas loin des Faurys et les voila revenus… entout cas quand ils viennent nous voir c’est une visite bien sympathique.
Je vais rajouter qu’il n’est pas seul, je pense qu’il y en a 2 voir 3. Je ne suis pas du tout fan de cet oiseau hurleur, l’entendre crier la nuit ou très tôt le matin on s’en passerait. Quelle idée de prendre de telles bestioles pour les laisser en liberté chez les autres…
et je ne dois pas être le seul a râler.
Effectivement l’année dernière nous en avons vu trois en même temps, probablement deux mâles et une femelle.
Nous on les aime bien et on espère qu’ils reviendront… les visiteurs ne sont pas nombreux en période de confinement.
Les râleurs aussi font la roue.
Oui, faudrait les embrocher, tout comme les coqs, les moineaux. Et les cigales.
Vive les superbes paons ! Les humains râleurs, dont les cris de récrimination nous dérangent infiniment plus, n’ont généralement pas d’aussi chatoyantes couleurs.