Le CIQ de Venelles souhaite encourager au développement de pistes cyclables,
il écrit au maire de Venelles, Arnaud Mercier.
Lisez et commentez sur le site du CIQ
Le CIQ de Venelles souhaite encourager au développement de pistes cyclables,
il écrit au maire de Venelles, Arnaud Mercier.
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3 réponses à “Pistes cyclables à Venelles”
Quand on demande au maire de prendre le temps de réfléchir aux aménagements cyclables sur la commune, il répond toujours :
https://www.cjoint.com/doc/22_05/LEvjiGEIw80_Jpeuxpasjaiv%C3%A9lo.jpg
Le CIQ a de grandes ambitions que son sigle n’explique pas (Comité d’intérêt de Quartier). A moins de considérer Venelles comme un ancien quartier d’Aix et désormais de la Métropole…
Bon courage pour des réponses politiciennes et/ou administratives, claires et nettes, puis mises en pratique. Hors quelques opérations de Com’ politiciennes surfant sur les tendances.
Plus personnellement, je ne crois pas qu’il y ait une réelle majorité de Venellois voulant refaire leurs vies “quotidiennes” à vélo. Et encore moins de jeunes se projetant vers l’avenir.
Plus techniquement, je n’arrive même pas à imaginer comment déconstruire l’existant venellois, pour en refaire une cité “provençale” respirable (rêve paradisiaque), aux avenues espacées et arborisées, pour bienheureux cyclistes et autres engins de déplacements non motorisés, voire piétons courageux.
Votre remarque est vraie et â l’image de celles qu’on entend sur beaucoup de communes du pays d’Aix : “Comment déconstruire l’existant pour y insérer des pistes cyclables ?…”
A vrai dire, nos décideurs politiques locaux ont pris tellement de retard dans les aménagements cyclables en considérant que les cyclistes n’avaient rien à faire sur la voirie, qu’aujourd’hui il est bien difficile de savoir comment rattraper ce retard.
Le maire d’une commune voisine disait à ce sujet : “Quand on fait un aménagement de voirie, nos techniciens pensent d’abord voitures, puis étudient où mettre les piétons, et s’il reste un peu place ils pensent éventuellement aux cyclistes”.
Actuellement nos politiques ont encore cette façon de penser.
Ceci étant, si on continue comme ça à toujours tout construire autour de la voiture, dans peu de temps nos villes seront invivables tellement elles seront polluées et stressantes, c’est ce que nous prévoit de dernier rapport du GIEC.
Donc, difficultés ou pas, il faut commencer à s’y mettre avant de se retrouver la tête dans le pare-brise.