Y a qu’à réserver cette avenue aux cyclistes. Ils vont moins vite et un vélo c’est moins lourd qu’un gros SUV de 2 tonnes.
En plus on peut laisser les ralentisseurs un peu haut , ça fera des tremplins pou les jeunes à vélo, ils adorent ça ! 😉
Laurent Hénon, vous m’avez fait bien sourire ! Merci.
Vos analyses clairement argumentées selon les exemples mentionnés ici, nous ramènent un peu sur terre.
Il est vrai que des dizaines de problèmes du quotidien villageois ne sont pas (ou sont mal solutionnés), mais contrer tout par des délires idéologiques ou complotistes ne mène à rien, voire à pourrir un peu plus l’ambiance sociétale, (donc politique et réciproquement), déjà difficile à accepter selon les “problèmes” du monde.
Par contre, il me semble que vous tombez aussi dans un piège flou : “…en se basant sur des réflexions générales convenant à une majeure partie de la population.”
Bonjour Martial Maurette,
Merci pour votre sympathique message. Emanant d’un Homme de réflexion comme vous, c’est comme recevoir un sésame.
Je ne sais pas si je tombe dans le flou. Je souhaitais signifier qu’il était évident que jamais l’on ne pourrait ni pouvait établir une solution convenant à tout le monde. Mon idée repose simplement sur le principe du consensus. D’ailleurs, le consensus lui-même est un instrument qui ne peut épouser à chaque fois la totalité mais s’appuie régulièrement sur le principe de majorité.
Nonobstant, l’on constate aussi que parfois, la réalisation d’une chose semble être faite en dépit du bon sens. Pour autant, c’est tout le travail de réflexion derrière qui est pointilleux et indique la perspective à emprunter. Le cas ici pour ce ralentisseur qui prendra en compte l’évolution des coutumes dans les mois et années à venir, le coût final de réalisation, la forte puissance de l’accidentologie pour diminuer les risques et bien d’autres variables que les ingénieurs des ponts et chaussées connaissent mieux que nous.
In fine, le vent est passé, je crois que les gens se sont bien habitués à cette construction et il ne tient qu’à eux de s’adapter.
Bonsoir,
Je viens de lire la page du CIQ.
Y sont exposés quelques arguments s’agissant du nouveau plateau-ralentisseur installé devant la Médiathèque. Ainsi, j’ai pu y lire que ce dernier, à peine conçu, est déjà décrié et stigmatisé des arguments suivants:
– manquant de confort pour les automobilistes: ah ? si l’on l’y passe à la vitesse prescrite, ce plateau est plus que confortable car l’angle d’attaque est parfait.
– redouté par ceux ayant des problémes de dos: faut-il donc traiter le problème dorsal ou bien supprimer le ralentisseur ? D’ailleurs, existe-t-il une statistique qui approuve tout lien causal entre infrastructure de ralentissement et douleur dorsale, tout en sachant que les automobiles modernes sont de plus en plus créées pour le confort ? Existe-t-il un travail qui démontre la parfaite corrélation entre souci dorsal et abaissement de la vitesse par plateau-ralentisseur ?
– favorisant les 4×4, SUV et autres véhicules sur-élevés: même réflexion qu’au-dessus, quel est le travail récent et disponible qui explique clairement la construction d’une relation entre prise majeure de marché par les VUS et les ralentisseurs ? Est-ce en revanche potentiel de corréler la création de ralentisseurs suite à une vitesse excessive de véhicules dont la sensation de vélocité est complètement annihilée par la hauteur des dits véhicules ?
Au delà de ces variations, je comprends qu’autrefois, les gens exprimaient leur mécontentement au sujet de la vitesse. Qu’une fois la vitesse abaissée, les gens expriment leur mécontentement concernant la structure incriminée, je ne comprends pas.
En poursuivant la lecture de la page, des solutions alternatives sont proposées pour stimuler le ralentissement chez un automobiliste. Mais, l’auteur, se pose-t-il la question de savoir si ces dites structures sont adaptées pour le flux actuel de véhicules et pour le flux futur ? Il ne le démontre pas. Une fois encore, est-ce à dire, à écrire, qu’une telle construction n’est réfléchie par un spécialiste de la voirie et que plusieurs réflexions ne sont menées en amont ?
Pour les mêmes raison de l’absence de gare à Venelles, ce n’est assurément pas en invoquant des motifs de manque de confort pour quelques-uns que les stratégies doivent être conçues comme appliqués mais uniquement en se basant sur des réfléxions générales convenant à une majeure partie de la population.
4 réponses à “Des bosses, encore des bosses…”
Y a qu’à réserver cette avenue aux cyclistes. Ils vont moins vite et un vélo c’est moins lourd qu’un gros SUV de 2 tonnes.
En plus on peut laisser les ralentisseurs un peu haut , ça fera des tremplins pou les jeunes à vélo, ils adorent ça ! 😉
Laurent Hénon, vous m’avez fait bien sourire ! Merci.
Vos analyses clairement argumentées selon les exemples mentionnés ici, nous ramènent un peu sur terre.
Il est vrai que des dizaines de problèmes du quotidien villageois ne sont pas (ou sont mal solutionnés), mais contrer tout par des délires idéologiques ou complotistes ne mène à rien, voire à pourrir un peu plus l’ambiance sociétale, (donc politique et réciproquement), déjà difficile à accepter selon les “problèmes” du monde.
Par contre, il me semble que vous tombez aussi dans un piège flou : “…en se basant sur des réflexions générales convenant à une majeure partie de la population.”
Bonjour Martial Maurette,
Merci pour votre sympathique message. Emanant d’un Homme de réflexion comme vous, c’est comme recevoir un sésame.
Je ne sais pas si je tombe dans le flou. Je souhaitais signifier qu’il était évident que jamais l’on ne pourrait ni pouvait établir une solution convenant à tout le monde. Mon idée repose simplement sur le principe du consensus. D’ailleurs, le consensus lui-même est un instrument qui ne peut épouser à chaque fois la totalité mais s’appuie régulièrement sur le principe de majorité.
Nonobstant, l’on constate aussi que parfois, la réalisation d’une chose semble être faite en dépit du bon sens. Pour autant, c’est tout le travail de réflexion derrière qui est pointilleux et indique la perspective à emprunter. Le cas ici pour ce ralentisseur qui prendra en compte l’évolution des coutumes dans les mois et années à venir, le coût final de réalisation, la forte puissance de l’accidentologie pour diminuer les risques et bien d’autres variables que les ingénieurs des ponts et chaussées connaissent mieux que nous.
In fine, le vent est passé, je crois que les gens se sont bien habitués à cette construction et il ne tient qu’à eux de s’adapter.
Laurent HENON
Bonsoir,
Je viens de lire la page du CIQ.
Y sont exposés quelques arguments s’agissant du nouveau plateau-ralentisseur installé devant la Médiathèque. Ainsi, j’ai pu y lire que ce dernier, à peine conçu, est déjà décrié et stigmatisé des arguments suivants:
– manquant de confort pour les automobilistes: ah ? si l’on l’y passe à la vitesse prescrite, ce plateau est plus que confortable car l’angle d’attaque est parfait.
– redouté par ceux ayant des problémes de dos: faut-il donc traiter le problème dorsal ou bien supprimer le ralentisseur ? D’ailleurs, existe-t-il une statistique qui approuve tout lien causal entre infrastructure de ralentissement et douleur dorsale, tout en sachant que les automobiles modernes sont de plus en plus créées pour le confort ? Existe-t-il un travail qui démontre la parfaite corrélation entre souci dorsal et abaissement de la vitesse par plateau-ralentisseur ?
– favorisant les 4×4, SUV et autres véhicules sur-élevés: même réflexion qu’au-dessus, quel est le travail récent et disponible qui explique clairement la construction d’une relation entre prise majeure de marché par les VUS et les ralentisseurs ? Est-ce en revanche potentiel de corréler la création de ralentisseurs suite à une vitesse excessive de véhicules dont la sensation de vélocité est complètement annihilée par la hauteur des dits véhicules ?
Au delà de ces variations, je comprends qu’autrefois, les gens exprimaient leur mécontentement au sujet de la vitesse. Qu’une fois la vitesse abaissée, les gens expriment leur mécontentement concernant la structure incriminée, je ne comprends pas.
En poursuivant la lecture de la page, des solutions alternatives sont proposées pour stimuler le ralentissement chez un automobiliste. Mais, l’auteur, se pose-t-il la question de savoir si ces dites structures sont adaptées pour le flux actuel de véhicules et pour le flux futur ? Il ne le démontre pas. Une fois encore, est-ce à dire, à écrire, qu’une telle construction n’est réfléchie par un spécialiste de la voirie et que plusieurs réflexions ne sont menées en amont ?
Pour les mêmes raison de l’absence de gare à Venelles, ce n’est assurément pas en invoquant des motifs de manque de confort pour quelques-uns que les stratégies doivent être conçues comme appliqués mais uniquement en se basant sur des réfléxions générales convenant à une majeure partie de la population.
Laurent HENON